Si dans les textes de la vie de tous les jours (courriers divers, articles de blog…) l’emploi du passé simple est rare, il n’en va pas de même dans l’écriture de fiction.
Il est même très courant d’écrire au passé, en utilisant l’imparfait et le passé simple. Pas n’importe comment, bien sûr !
Je ne sais pas vous, mais moi, un texte qui me plaît, lorsqu’il contient des fautes d’orthographe (ou pire : de grammaire ou de conjugaison), cela me désole.
Si le texte ne me plaît pas, je m’en fiche un peu… À la limite, je vais en rire. Mais un texte qui m’accroche, que j’ai plaisir à lire et dont j’ai du mal à me détacher, c’est autre chose.
C’est un bel objet… avec de petits défauts. Un bel objet qui mérite qu’on prenne soin de lui.
Bescherelle, cela vous dit quelque chose ?
Si ce nom vous évoque la sauce blanche qui nappe les gratins, vous êtes certainement un peu fâché avec l’orthographe. Ou la grammaire. Ou la conjugaison.
Bref, avec l’un des sujets qui composent la fameuse trilogie Bescherelle
Fameuse, car les trois livres qui la composent célèbrent cette année leur centième anniversaire et qu’après avoir réjoui ou désespéré (c’est selon :-)) des générations entières, ils sont toujours vendus par millions.
À la première personne du singulier, comme le faisait très justement remarquer MarieBo dans l’un de ses commentaires, les confusions entre le futur et le conditionnel sont courantes.
En effet, les deux formes verbales se prononcent de la même manière. Alors, comment savoir quand le verbe prend un « s » final ?
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