Ils sont quatre. Tous écrivains publics, tous membres du SNPCE. Jeudi dernier, le 12, ils ont participé conjointement à l’émission Le Temps de le Dire, animée par Stéphanie Gallet sur RCF.
Pendant une heure et demie, ils ont présenté leur (notre) métier avec toutes ses spécificités et ses facettes. Ils ont également répondu aux questions des auditeurs. Continuer la lecture de 4 écrivains publics témoignent
Vous aimez écrire ; vous le faites d’ailleurs depuis longtemps et avec facilité. Alors pourquoi ne pas devenir écrivain public biographe ? Parce qu’il ne suffit pas, comme je le disais ici, de savoir écrire pour exercer ce métier. Mais aussi parce que certaines choses sont complètement rédhibitoires.
1. Il vous faut un emploi du temps régulier
Si vous ne concevez le travail que comme quelque chose d’immuable, qui ne déborde pas des plages horaires traditionnelles (8 h-12 h, 14 h-18 h) alors il vaut mieux passer à autre chose. À moins que vous ne décrochiez l’un des très rares postes d’écrivain public salarié, il y a fort à parier que votre emploi du temps ne soit extrêmement variable. Continuer la lecture de 5 bonnes raisons de ne pas devenir écrivain public
C’est en début de mois que j’ai fêté mes deux ans d’installation comme écrivain public biographe. Deux années qui seront certainement suivies de beaucoup d’autres : comment imaginer quitter un métier aussi passionnant que celui-ci ? Lorsqu’on a l’impression d’avoir vraiment trouvé sa voie, sa place dans l’univers, pourquoi envisager d’en changer ?
Continuer la lecture de Deux ans ? Cela vaut bien un nouveau site Internet !
Christine Atger est écrivain public et écrivain conseil® en région parisienne. Installée depuis dix ans (je profite d’ailleurs de ce billet pour souhaiter un joyeux anniversaire à son cabinet : Les mots pour…) Christine est également membre fondateur du GREC et du SNPCE. Deux organisations dans lesquelles elle continue de jouer un rôle important.
Deux appartements ont été aménagés dans sa maison : l’un au rez-de-chaussée, l’autre à l’étage. Les deux sont en location. À des prix très modérés : il loue plus pour rendre service que pour gagner de l’argent.
La locataire du rez-de-chaussée vit seule avec son chien. Elle est là depuis une dizaine d’années et ne songe absolument pas à s’en aller, même s’il lui arrive de maugréer contre l’humidité de la maison.
À l’étage, c’est une autre histoire… Les locataires ne restent jamais bien longtemps. Pourtant, le logement semble apporter toute satisfaction.