Par, pare, pars, part…

interrogation
Encore une histoire d’homonymes. La langue française en est friande. Mais par quoi commencer, cette fois ?

Il y a bien sûr les différentes graphies liées à la conjugaison du verbe partir : je pars, tu pars, il part… À ne pas confondre avec celles du verbe parer : je pare, tu pares, il pare.

Comme souvent dans ce cas, c’est le verbe à l’infinitif qui permet de s’assurer que l’on n’a pas fait d’erreur : s’il contient un « e » (parer), alors il en faut un dans la forme conjuguée. C’est aussi simple que cela. Mais pas évident pour tout le monde… Parole de correctrice !

Et à part cela, me direz-vous ?

Je pourrais vous offrir une part de gâteau. Vous en profiteriez pour vous tailler la part du lion. Et ce serait un bon dé… part !

Mais pourquoi diable mettre un « t » muet à la fin de ce mot ? Parce que c’est le fait de partager le gâteau entre plusieurs personnes qui aboutit à ce morceau qu’on appelle une part 🙂

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2 réflexions au sujet de « Par, pare, pars, part… »

    1. Bonsoir Hélène,

      C’est avec plaisir 🙂
      C’est vrai que j’ai un peu délaissé ma rubrique « J’ai un doute » ces derniers temps… Pourtant, ce ne sont pas les idées qui manquent ! C’est re-part-i pour un tour 🙂

      Florence

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