Il y a dix-neuf mois tout juste, je commençais un blog. Sans vraiment savoir ce qu’il deviendrait, jusqu’où il m’amènerait, comment il évoluerait…
Aujourd’hui, je sais qu’il va durer. Alors pour le consolider, pour le personnaliser vraiment, je lui offre un nouvel hébergement. Un nouvel espace de vie sur la toile.
Je ne l’abandonne pas, bien au contraire : je lui fais prendre son envol ! Continuer la lecture de Ça déménage !
Il y a quelques jours, j’évoquais le travail passionnant pour lequel Monsieur L. m’avait contactée. Un gros chantier de correction et de mise en page pour transformer le contenu de son blog en livre.
L’histoire est déjà un peu ancienne : c’est au mois de janvier que je lui ai transmis mon devis. Devis au sujet duquel je m’interrogeais : qu’allait donc en penser Monsieur L. ? Continuer la lecture de Il n’y a plus d’abonné…
« Le temps qui passe ne se rattrape guère », chantait Barbara, mais il est souvent présent dans nos écrits. Les heures qui s’écoulent, le fil des jours et des nuits, les années qui s’envolent…
Parfois, le temps semble s’arrêter. Il est alors 15 h ou 18 h, voire 2 h du matin. Continuer la lecture de Heure ou h ?
Le mois prochain, le SNPCE tient son congrès annuel à Corbeil-Essonnes. À cette occasion, un atelier (gratuit) est programmé le samedi 14 mai après-midi sur le thème : « Savoir se vendre : communication et prestations ; être à l’aise avec ses tarifs ».
L’inscription est obligatoire pour y participer, mais l’atelier est ouvert à tous, adhérents du SNPCE ou pas. C’est une occasion à ne pas rater si vous êtes dans le secteur.
Vous pourrez même venir me raconter vos impressions en commentaires puisque je n’ai pas la chance de pouvoir venir 
Le blog de Jean-Philippe Touzeau, expatrié à Tokyo.
La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Elle a plus souvent l’allure d’un petit torrent de montagne, tortueux et plein de fougue, jalonné de petits bassins calmes dans lesquels les truites arc-en-ciel aiment à vagabonder. Parfois, on surfe sur la vague. Parfois, on a l’impression d’être emporté par un tourbillon qui va nous engloutir. Parfois, on se laisse aller paisiblement sur le dos, les yeux mi-clos, en suivant la course des nuages. Et parfois, on décide de mettre pied à terre pour prendre un peu de distance avec les événements, se poser et réfléchir… pour mieux replonger dans le cours de son existence.