Le meneur de je

Apprivoiser l'animal

Pourquoi faire appel à un biographe, au lieu d’écrire soi-même ? entend-on parfois.

A priori, en effet, quitte à faire corriger son texte ensuite si on est vraiment fâché avec l’orthographe, chacun est capable de rédiger lui-même ses mémoires ou son autobiographie.

Il suffit d’être suffisamment à l’aise avec l’écriture pour y arriver.

Logique… Sauf qu’on peut vouloir se raconter, ressentir le besoin de mettre son vécu noir sur blanc, être habitué à écrire… mais être arrêté par une difficulté imprévue : l’impossibilité d’écrire « je ».

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2 réflexions au sujet de « Le meneur de je »

  1. Bonjour Florence,
    ce que vous racontez là me fait penser à la réaction dd’un monsieur âgé dont j’écris la biographie en ce moment. A la lecture du premier chapitre que je lui avais écrit, il m’a avoué avoir été très remué, et que c’était une expérience passionnante mais qui pouvait aussi faire très peur…Lui, c’était de voir retranscrit noir sur blanc ce que lui-même m’avait raconté qui lui a fait ressentir des émotions très fortes.Mais il est toujours partant!
    Bonne continuation.
    Mireille

    1. Bonjour Mireille,

      Le ressenti diffère bien sûr d’une personne à l’autre, mais il y a une constante : faire ce genre de travail suscite de nombreuses (et fortes) émotions !
      Bonne continuation avec ce monsieur 🙂

      Florence

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