Il y a quelques jours, j’évoquais le travail passionnant pour lequel Monsieur L. m’avait contactée. Un gros chantier de correction et de mise en page pour transformer le contenu de son blog en livre.

L’histoire est déjà un peu ancienne : c’est au mois de janvier que je lui ai transmis mon devis. Devis au sujet duquel je m’interrogeais : qu’allait donc en penser Monsieur L. ?

Je ne l’ai jamais su. À moins que je ne l’aie très vite deviné ? En effet, depuis cet envoi Monsieur L. est aux abonnés absents.

Il n’est pas le premier à réagir ainsi, ou plutôt à ne pas réagir. À plusieurs reprises, déjà, on m’a sollicitée pour des travaux de relecture, voire de réécriture complète de textes. Des manuscrits embrouillés, de 150 à 200 pages, dont il fallait « faire quelque chose ».

Le travail à fournir étant énorme, le montant du devis atteint toujours, dans ce cas, plusieurs milliers d’euros. Cela peut impressionner, je le conçois. Mais est-ce une raison valable pour ne même pas prendre la peine de répondre à mes messages ?